Les limites du vivant sous le plancher océanique ont été une nouvelle fois repoussées. Une équipe européenne composée notamment de chercheurs du Laboratoire de microbiologie des environnements extrêmes (LM2E) et du laboratoire Ecosystèmes, biodiversité, évolution de Rennes (ECOBIO) de l'Observatoire des sciences de l'Univers de Rennes vient en effet d’identifier des bactéries et des champignons microscopiques à des profondeurs records de 1 922 et de 1 740 mètres sous le bassin de Canterbury, au large de la Nouvelle-Zélande.